Le déluge passé
La
musique éclectique
Me
frôle la peau
Câlin
et pili-pili
Le
soir s’approche excessif
Blessé
par balle
J’ai
hâte de sentir
Ses
lèvres sur ma palissade
La
bête se meut
Les
pois du tissu
Me
rappellent à l’ordre
Me
neutralisent
Clichés
fantaisies
Comme
des bonbons acidulés
Qui
me font rire
D’un
sang neuf et vif
Je
me sens irriguée et douce
Haute
en couleur
Sous
la retenue
En
solo je me crevasse
Mais
je tiens bon
J’imagine
ses mains
Sur
le satin de mon trac
Impressionnantes
C’est
le déclic.
J’abandonne
les mégots
Et
je pense à lui.
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