viernes, 18 de marzo de 2016

Haïku de pacotille.2.v2. Souvent le soir.


 
 
Gros nuages gris
Liberté poudreuse et rude
Souvent le soir.
J’aimerais goûter
Une nouveauté ultra sucrée
Un ver de farine.
 
Mais la tasse de thé
Indique l’horaire de fermeture
Tranchante.
Les inutiles
Sur le sol exhibent leur paresse
Poèmes sans-gêne.
Des pierres sombres
Font scandale parmi les plantes
Vertes et velues.

L’au-delà se profile
Dans les flammes des bougies blanches
Il fait mouche.

Aréopage sec
Une migraine m’assaille
Le chat se love.

Le lit m’appelle
Strident parmi les aplatissoirs
L’or tombe à verse.

Dans l’impasse
Les jambes me prêtent mains fortes
Je me couche.

 

Version blog 1, 25 octobre 2013.

 

 

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